Into the wild
Envie de bouffer de l'art contemporain de la musique si différente que si on l'enfonçait dans un téléphone vintage il exploserait. "Excitant comme une jaguar". Chic. Faudrait que je bosse mais j'ai mieux à faire. Ecouter Pina Bausch Vivaldi & Passymal. Mouahah Amorina Amor Amor du chocolat plein la bouche & c'est notre seul repas de la semaine. Plus maintenant qu'on fait les courses & qu'on remplit le frigo. J'ai la lèvre fendue & mes règles ça fait plaisir. Pour la lèvre fendue un peu moins mais je m'en fous puisque je jouis. En force.
Ouïe : "Je ne peux pas me passer de toi". Yann Tiersen "J'y suis jamais allé".
Toucher : Ses yeux bridés. Son torse. Ses fesses. Sa bouche. Lui il n'a jamais de crotte d'oeil. Le froid quand j'ai trainé dans le jardin sans culotte.
Odorat : La crème hydratante au miel l'Occitane. Brest. Paris.
Vue : Pas Amiens pour le moment. Brest La rue de Siam, la rue Jean-Jaurès, le Murphy's, Les enfants de Dialogues, La mer, le jardin...
Goût : Rien, je mange trop ces temps-ci. J'ai peur.
Musique : The Earlies.
Film : Into the wild de Sean Penn, Docteur House.
Livre : La société du spectacle de Guy Debord, le magazine Esprit (Qu'est-ce que le Sarkozysme ?), La conquête de la Pologne de Paul Jimenes.